7/26/2016-8/20/2016-public library « Tartarotti » à Rovereto
L’exposition est consacrée à le œuvre du dessinateur et humoriste Joseph Novello, à travers le portrait hilarant, impitoyable et caustique de la bourgeoisie du « Bel paese », entre les années d’apogée fasciste et ceux qui ont immédiatement suivi la seconde d’après guerre.
« Il y a au moins trois bonnes raisons pour une exposition consacrée aux dessins de Joseph Novello. La première est qu’aujourd'hui, le nom de l’artiste formidable Codogno, malgré la grande popularité qu’il avait dans le passé, est maintenant inconnu de la plupart des gens. La seconde est que ces cartes sont amusants, marrant : pur divertissement en Chine noir sur feuille blanche. Mais il y a une troisième raison et est peut-être ce qui rend cette exposition si urgent : Comment drôle, ces dessins et ces personnages dans les portraits, sont toujours un fidèle en acier inoxydable qui chacun de nous et peuvent rammaticamente être prises en compte et reconnaître les uns les autres. Avec une quantité variable d’embarras et de l’inconfort, dans la mesure où cette petite et moyenne bourgeoisie décrite par Novello, surtout celui qui est décrit dans les années 1930, l’âge d’or fasciste et après la guerre, il n’était absolument pas disparu, mais a continué à prospérer, développe des anticorps encore plus résistants à toutes le vain espoir d’amélioration et de la rançon.
Le peuple italien, à moins d’un siècle, elle a racheté jamais, mais il resta toujours fidèle à lui-même, en continuant à tirer a vie, décennie après décennie, pratiquant avec habileté inégalée aussi bien l’art de la résilience comme le jeu de gattopardism. La petitesse de l’opportunisme, l’hypocrisie, le conformisme, vanité, lâcheté, égoïsme, les tics plus roman odiosiche a accusé certains de ses compatriotes (et à lui-même, sans prétendre jamais à sortir ou ne pas être connectée à son J'accuse) sont exactement ceux que nous avons du mal à saisir chaque jour ne pas regardant autour. Ou bien sûr, directement vers le miroir.
Donc, je regarde et nouvelles tables de lecture aujourd'hui, plus de soixante-dix ans après leur première sortie, signifie vivre une double expérience dans la mesure du désarroi aliénant, remarquablement drôle et sincère. « Attention » a semblé laisser entendre puis Novello « ici on rigole, mais il n’y a rien à rire. C’est grave, très grave, autant que je trouve Comique : il y a une dictature, une aventure coloniale folle et sanguinaire en cours, il y a les lois raciales, il y aura une guerre : tire un air très mauvais et nous sommes à s’habituer à vivre avec l’horreur, nous allons adapter à nous glisser sur.
Nous marchons sur le bord d’un précipice et personne ne semble vouloir compte. » « Attention » continue à suggeririrci ces portraits de Messieurs maladroits et drôles de bonne famille « aujourd'hui ces dessins animés sont toujours rire et peut-être maintenant comme à l’époque, nous nous adaptons pour passer du temps avec ses pieds sur le bord du précipice, à l’étape d’attente misérable trop qui va précipiter ». Qu’aucune deception donc la distance temporelle qui nous sépare d’eux avant publication et ne sera pas confondre le fait que les cibles de sa satire semble appartenir à un monde antique et lointain, ne disperser un malentendu garbo gozzaniano. Avant toute chose, nous pas tomber dans le même piège que Novello a dû élaborer pour exprimer son inquiétude sans provoquer la suspicion parmi les censeurs d’un régime que bientôt il serait ont fait tomber sur le front russe pour combattre, après la première, sa seconde guerre mondiale. » (Michele Pompéi)
Source : www.cultura.trentino.it